La politesse et le ménagement de la face dans L’école des femmes de Jean Baptiste Poquelin Molière

Detta är en Magister-uppsats från Göteborgs universitet/Institutionen för språk och litteraturer

Författare: Ephraïm Niemomuaka; [2022-09-29]

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Sammanfattning: Résumé Mémoire : 15 crédits ETCS Programme et cours : Langue et communication interculturelle Niveau : Niveau avancé Semestre/année : Semestre du printemps 2022 Directeur/rice : Andreas Romeborn et Linnéa Koré Examinateur : Mots-clés : Titre : Politesse, face, Brown & Levinson (1987), L’école des femmes Liste d’abréviations : - B&L: Brown & Levinson - FTA (face threatening act) & FFA (face flattering act) L’objectif de ce mémoire est d’expliquer les manifestations linguistiques de la politesse dans L’école des femmes de Jean Baptiste Poquelin Molière (1662) qui est une œuvre qui nous semble être liée à plusieurs facteurs sociolinguistiques, entre-autres le fait que la politesse fait partie de notre quotidien et reste un sujet d’actualité indépendamment de l’époque à laquelle on se trouve. Il s’agit de mettre en lumière la politesse telle qu’elle se manifeste dans quelques scènes de l’œuvre de Molière (1662). En ce qui concerne les théories de la politesse, nous avons avant tout Brown & Levinson (1987) qui consacrent tout leur ouvrage à ce sujet de la politesse. La notion de politesse engage bien d’autres termes, par exemple la notion de face. Cette dernière dérive de Goffman (1955) et Goffman (1967) mais nous la repérons aussi dans B&L (1987). La face est une image publique que le locuteur présente aux yeux de son interlocuteur. Dans la politesse, il est nécessaire que l’acquisition du message, de l’envoi ou de la requête soit faite d’une manière plutôt agréable que non-agréable au risque de devenir une menace pour le destinataire. Une acquisition non-agréable veut dire que le locuteur franchit le territoire de son interlocuteur et ce dernier subit une face threatening act ou un acte menaçant pour la face, désormais FTA (B&L 1987). Quant au résultat, nous avons constaté que le respect de la procédure conversationnelle fait en sorte que le locuteur et l’allocuteur interagissent de manière fluide de l’ouverture à la clôture de l’interaction. Nous constatons aussi que celui/celle qui initie la conversation, l’ouvreur, est censé d’en toujours prendre compte. De même, c’est un moyen d’éviter le désaccord lorsqu’on respecte cette procédure conversationnelle, et cela engendre le respect simultané d’opinion. Nous avons également remarqué que certains FTAs, bien que pas possibles d’anéantir complètement, peuvent être réduits lorsque le locuteur se sert du principe que toute vérité n’est pas bonne à dire

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